LES DIX CLICHÉS DES CONTES ET DES ROMANS DE FANTAISIE
PAR APPAK
GOURMET ET CRITIQUE CULINAIRE
RELU ET CORRIGE PAR SKYNOS
MAITRE ALPAGA ET POURFENDEUR DE LA BRIOCHE ZOMBIE
IntroductionLe rapport ci-dessous est le résultat de plusieures années de recherche ( en fait 5 minutes) et a demandé de nombreux moyens et la participations de nombre de personnes ( en fait juste un plouc et un ordi).
Il présente dans un langage claire et accessibles à tout le monde ( en fait pas du tout c’est juste du charabia), les scènes fréquemment rencontrées dans les contes de fées, aventures légendaires, ou autres histoires féériques( en gros tout ce qui a un magicien , un dragon et une princesse avec une méga quête pour sauver le monde pis un big méchant qui veut tout pêter), dans le but simples de démontrer que ces scènes ne sont nullement des clichés, mais des actions et des prouesses littéraires mal comprises et à tort interprétées comme des clichés.
Cliché 1 : la règle de la femme de chambreSi à un moment de l’histoire, le héros et la princesse doivent se faire capturer, ils seront enfermer dans la plus haute tour d’un château, où il se trouvera toujours au minimum un lit et une armoire où ils trouveront des draps en suffisance pour descendre de la tour, bien que celle si soit la plus haute.
Si par hasard, la codre confectionnée avec les draps, n’est pas suffisamment longue pour leur permettre de descendre, il y aura frorcément un archer ennemi pour tirer sur la corde qui sera alors coupé et laissera par la même les héros tombés( cela n’est pas un mauvais jeu de mot^^). Mais dans cette situation il y aura toujours sous les héros la présence d’une douve profonde,remplie d’eau, n’abritant pas de monstres, permettant aisni aux héros de survivre à la chute. Par la suite, il se trouvera toujours à proximité du château, une forêt épaisse permettant aux héros de fuir les tirs ennemis et de s’en protéger et de se cacher aux yeux des ennemis les poursuivants.
Un cliché ? Pas du tout…c’est juste que les femmes de chambre sont toutes des agents doubles, et laissent toujours des draps dans les tours élevées du château.
Cliché 2 : axiome de la captivitéSi à un moment de l’histoire , le grand méchant ou quelque de ses bras droits tient à sa merci les héros, plutôt que de les éliminer sur le champ, il préfèrera toujours faire un long discours laissant ainsi le temps aux héros de s’échapper ou à l’équipe de secours d’arriver.
Corollaire du cliché 2 : la plupart du temps cela signifie aussi la défaite du méchant qui s’en prend plein la poire.
un cliché ?...pas du tout, c’est juste que les rôles des méchants sont toujours tenu par de grands bavares.
Cliché 3 : le théorème des classes sociales
Si le héros doit tomber amoureux d’une fille, cette fille sera toujours d’une classe sociale plus élevée, interdisant par là-même le mariage des deux amants. Il se révèlera toujours après une longue quête faite de palpitantes aventures mais pas moins inutiles que le héros se trouve être le descendant d’une grande lignée sacrée, lui permettant ainsi d’accéder à la place sociale lui octroyant la belle.
Corollaire du cliché 3 : si le héros est amoureux, il se mariera inévitablement quelque soit les obstacles sur son chemin.
Exception au cliché 3 : la fille peut etre de la même classe sociale que le héros, mais elle doit pour cela être endormie dans un sommeil sans fin depuis au moins
le quadruple de l’âge du héros au moment de leur rencontre.
Un cliché ? …pas du tout, c’est juste que les officiers d’état civil ne tiennent pas leurs registres correctement.
Cliché 4 : la règle du Bien et du Mal Règle 1 : Le méchant suprème est toujours le personnage le plus puissant de l’histoire. Mais bien qu’il soit capable d’annéantir le monde d’un seul clin d’œil, il se fera toujours défaire par le premier bouseux venu ( = le héros, en langage commun)
Règle 2 : La force du Bien ne peut compter que sur des paysans et des illetrés, qui se révêleront d’une grandeur d’âme extraodinaire, une fois qu’une force sacrée mystique leur aura confié une arme suffisamment puissante pour éclater le méchant suprême. Bien que cette force dispose d’elle-même des moyens nécessaires à éclater le grand méchant, elle confiera toujours cette mission à un individu landa, pour raison d’harmonie et de non-violence, ou de décadence inévitable de son pouvoir.
Si par hasard se dressent sur le chemin du méchant d’autres gentils , mais que ceux là n’ont pas pour arme une pelle et une fourche, malgré qu’ils possèdent la plus grande armée et les plus puissants guerriers du monde, ils se feront toujours later la gueule.
Un cliché ? …pas du tout, c’est juste que les histoires féériques sont lu en majorité pas des paysans( je sais ils sont illetrés alors me demandez pas comment ils les lisent) , les conteurs flattent donc l’ego de leur lecteur en mettant au centre un homme de leur milieu. Pub et business obligent.
Cliché 5 : Le voyage de Gulliver
Si la quête du héros doit l’ammener a effectué un voyage, ce voyage le mènera au bout du monde avant de le rammener chez lui, où il retrouvera ses proches.
Corollaire du cliché 5 : Si le héros est en quête d’un objet, il fera le tour de la terre pour trouver la sainte relique, qui en fait située juste à côté de son lieu de départ.
Un cliché ?...pas du tout, c’est juste que les conditions économiques permettent des voyages bon marché grâce à des compagnies aériennes pratiquant des offres à faibles coût.
ConclusionPour le 5 cliché qui suivent, ceux ci étant d’une évidence bien plus marquée, je laisse au soin du lecteur le parcours de 3 millénaires de littérature pour les découvrir, à son plus grand plaisir, par lui-même.( en fait c’est juste que Appak en a marre et a plus d’idée, il va aller s’envoyer une plaque de chocolat, pis pioncer un bon coup après une bonne partie de mario world)
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